Un couteau de cuisine doit être facile à utiliser et tranchant. Cela repose sur la qualité de chaque élément qui compose le produit. Il est conseillé de vous informer sur les différents composants de ce type d’outil avant d’en acheter un. Cela peut aider dans les recherches, mais aussi pour la prise en main.
Le premier composant est la lame
La lame est le cœur même d’un couteau de cuisine vu qu’elle détermine la qualité de découpe de l’ustensile. Elle détermine en même temps la durabilité du tranchant tout comme la facilité d’aiguisage. Elle peut être réalisée en plusieurs matériaux, mais l’acier inoxydable est le plus populaire.
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Elle est, en tout cas, décomposée en différentes zones, dont les 3 suivantes :
- La pointe qui est la partie pointue au bout de l’accessoire ;
- Le tranchant qui sert à trancher et à couper tous les aliments ;
- Le dos qui est utilisé pour racler les aliments sur une planche à découper.
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La mitre est une partie importante
La mitre se trouve entre la lame et le manche qui se manifeste comme étant la partie de jonction. Elle est indispensable pour obtenir une meilleure maîtrise sur l’équilibrage de l’ustensile à chaque utilisation. La prise en main du produit est aussi plus facile, surtout pour une méthode « prise de lame ».
Il est important de déterminer la continuité entre la lame et cette partie du couteau. Cela garantit la praticité du produit tout comme sa facilité d’entretien. Il ne faut pas non plus négliger la durabilité de l’accessoire pendant de longues années.
La soie est aussi indispensable pour un couteau
Cette partie représente généralement le prolongement de la lame de votre couteau. Souvent invisible à l’extérieur, cet élément peut se présenter sous plusieurs formes, à commencer par le postiche. Sa présence risque d’impacter sur la longévité de l’accessoire proprement dit.
Il y a aussi la demi-soie dont l’allongement est presque la moitie de la lame du couteau. D’un autre côté, « la ¾ de soie » apporte plus de solidité au manche et prolonge ainsi sa durée de vie. Enfin, la pleine soie qui se montre avec une partie métallique qui se poursuit jusqu’au bout du manche.
N’oubliez pas le manche
Un manche de meilleure qualité assure la facilité de prise en main et de manipulation d’un couteau de cuisine. Ici, vous pouvez opter pour une réalisation rivetée qui possède deux côtés fixes et parfaitement solides. La fixation est d’ailleurs faite avec des rivets bien choisis et travaillés.
Il y a aussi le manche traditionnel japonais qui possède une mitre non forgée. Un pommeau accompagne cet élément sur certains modèles afin d’apporter plus d’équilibre. Il reste en dernière option le manche à injection directe qui est fait avec un moulage spécifique.